Nadia 12.






Un de ces soirs comme les autres, où les devoirs pouvaient bien attendre et les livres reprendre leur souffle, Nadia retrouva Yang à l'OAZ'is.
Seulement, contrairement à d'habitude, les habitués remarquèrent instantanément sa présence.

- « Eh mais regardez qui voilà ! »



Bastien, accompagné d'une partie des Crotales et des Vipères avait élu domicile pour la soirée à la cafèt.
Mais ce n'était pas le pire. Son sang se glaça quand elle aperçut les deux silhouettes sur sa gauche. Tout se mit alors en place dans sa tête.



- « Et pour le bal de promo, tu viens me chercher en limo, hein ?!
- « Mais oui tu me l'as dit 100 fois !
- « Miko j'ai trop hâte tu peux pas savoir... Dis mon cœur... Tes parents nous laissent bien la maison, hein ? »

Yang lui tira sur le poignet :

- « Viens on s'en va.
- « Non. »

Entre temps, Fabien s'était tourné vers les nouvelles venues et s'était figé quand il avait reconnu Nadia. Juliette ne s'était rendu compte de rien, toute à son excitation et à ses projets.
Comment avait-elle pu être si aveugle ? Le téléphone... Ça ne pouvait être qu'une petite amie... L'autre soir après sa dispute avec son père... Le banc... Il était juste à coté de la résidence des Vipères. Il attendait sûrement qu'elle parte pour retrouver sa copine, et elle lui avait tenu la jambe toute la soirée. Surtout, il n'avait jamais été tactile avec elle. Tous les contacts qu'ils avaient eu étaient le fruit de son initiative. Pour finir, c'était elle qui l'avait embrassé. Et elle réalisait à cet instant qu'il n'y avait pas répondu, à son baiser. Ce qu'elle avait pris pour un retour était juste la petite affection qui les liait alors. Et il avait été tellement doux...
Le cœur au bord des lèvres, elle se rendit compte que tout le monde les regardait, elle et Yang.
La mâchoire crispée et les larmes refoulées, elle avança en direction du comptoir.

- « Nadia on s'en va, tenta à nouveau son amie.
- « Non."


- « Eh Yang ! Tu viens t'asseoir ? Demanda Juliette toute guillerette. Ta copine aussi peut venir. Eh Calcuta ! Viens me raconter les prouesses en maths de Miko !
- « … Je préfère me mettre là, si ça t'ennuie pas...
- « Euh... Non non... On discutera une autre fois... »

Une fois attablées, elle l'entendit chuchoter :

- « Elle est quand même pas très sociable la Calcuta. M'enfin... Si elle t'a aidé, je veux bien faire un effort. Si elle est plus aimable avec toi, tu peux lui dire un jour de venir sortir avec nous. Ça me ferait plaisir de la connaître si c'est devenu une amie à toi... »


Elle en avait vécu des moments douloureux. Des beaucoup plus traumatisants, même. Alors pourquoi le simple fait de découvrir que Django avait une copine lui tordait les boyaux à ce point ?

- « Nadia... je te jure que c'est pas une bonne idée de rester ici. Si les Crotales sont là... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase :


- « Salut les mecs ! 
- « Sympa pour nous,  répondit une Vipère au baby.
- « Maev' ! Toujours aussi canon ma chatte...
- « Dans tes rêves...
- « C'était donc ça hier soir ? »

L'adolescente se contenta de sourire et de lui faire un clin d'oeil.

- « Eh mais... S’exclama-t-il alors. C'est pas la Calcuta, là ? Miko t'es pas sérieux ! Ta copine et ta maîtresse dans la même salle ?! T'aime vivre dangereusement mec, respect !
- « Ta gueule. »

Oruscant se mit à rire.

- « Eh relax, si c'est bon pour Juju, c'est bon pour moi !
- « Damian... tenta Juliette.
- « Nan mais Ju', chacun voit midi à sa porte, hein... T'as toujours été adorable toi de toute façon. T'es pas foutue de te fâcher avec quelqu'un. Si c'est trop dur pour toi mon chaton je peux m'en occuper... »

Il terminait sa phrase tandis qu'il se plantait devant Nadia et yang : 


- « Tu vas où Calcuta ? Tu sais, ma proposition tient toujours ! Tu veux pas mon cône à la vanille après celui au chocolat de notre cher Miko ?
- « Damian... tenta Yang à son tour, toute tremblante.
- « Toi la morte tu la fermes.
- « Viens Yang on s'en va.
- « C'est pas trop tôt, souffla-t-elle. »

Nadia attrapa son assiette et se dirigeait vers le comptoir quand Oruscant se dressa devant elle.

- « Je crois qu'on a des comptes à régler tous les deux. »

L'adolescente tourna la tête et vit Fabien qui s'était mit debout, Juliette lui barrant le passage :


- « C'est pas ton problème Miko.
- « Juliette, ça va mal finir.
- « Qu'est-ce-que ça peut te faire ? Elle s'est mise toute seule dans cette situation. Seule une idiote veut se mettre Dam's à dos. »



- « Tu peux te rasseoir Django. J'ai pas besoin de toi. J'ai besoin de personne. Tu vas te le mettre dans la tête un jour ?! »



- « Tu vois, tu peux rien pour elle. Elle est irrécupérable.
- « …
- « Assis-toi."

Elle avait posé doucement ses mains sur le ventre de son petit ami, l'incitant à l'écouter. 

- "Ça ne te regarde pas. »

Mais il ne bougeait pas, immobile comme du marbre.
Pendant ce temps là, Nadia avait posé son assiette et s'apprêtait à partir quand Oruscant lui avait saisi le bras pour la forcer à se retourner. Attrapant un gobelet sur une table, elle lui jeta le contenu à la figure : 


- « NE ME TOUCHE PAS !!! »

Surpris un quart de seconde, il tenta de lui arracher le verre des mains mais elle fut plus rapide et fit un bond de coté.
Elle vit du coin de l'oeil que Django avait fait un pas vers eux mais Juliette s'était collée contre lui pour l'empêcher d'intervenir.
Tout se passa alors très vite.


- « Bah alors Crotot ?! T'as une réputation il me semble ?! C'est quoi ce réflexe tout mou ? »


Cette fois, elle vit le coup venir.
Alors elle frappa en premier en lui envoyant son front contre le nez. 


Le coup fut si violent qu'on entendit les os se casser et le sang ne tarda pas à couler.
Mais Oruscant fut plus rapide ensuite et envoya son poing...



Dans le vide puisque Fabien s'était jeté sur lui, renversant tables, chaises, et Maeva. Le poing de Damian trouva quand même la mâchoire de Django, mais celui de ce dernier fracassa la pommette de son adversaire. Damian réussit malgré tout à se relever, mais il ne faisait pas le poids face à la puissance de Miko.



Ce dernier semblait relâcher toute la rage accumulée ces derniers mois. Damian avait cependant une bonne résistance et ne capitulait pas.
Nadia se sentit tout à coup saisie par le poignet et traînée à l'extérieur.



- « Lâche-moi ! Cria-t-elle en dégageant sa main de la poigne de John, que ses copains appelaient "Sen", pour senior, du fait de son avance de quelques minutes sur son jumeau Bastien.
- « Tu devrais partir. »


- « Je fais c'que j'veux ! Fabien est encore à l'intérieur !
- « Tu ne lui seras d'aucune aide. Et crois-moi, peu importe l'issue, il vaut mieux que tu sois partie quand ce sera terminé. Tu devrais même quitter la ville. Oruscant voudra ta peau après ça.
- « Mais vous avez tous les j'tons c'est ouf ! Et il va me faire quoi ?! Me mettre une gifle?
- « Tu demanderas à ta copine.
- « Ma copine ? »

Stupéfaite, Nadia n'eut pas le temps d'en savoir plus. On venait de lui saisir à nouveau la main.


Django courrait devant elle et l'entraînait dans sa course.
Ses épaules, encore et toujours, devant elle. Alors qu'ils traversaient le parc, puis le terrain vague, elle se laissa aller à la sensation cotonneuse qu'elle ressentait à chaque fois qu'elle pensait à cet instant.



Lorsqu'elle revint à elle, ils étaient sur leur spot.
A bout de souffle, elle porta la main à son visage pour examiner ses contusions. Il n'avait quasiment rien.



Alors qu'il attrapait son poignet, elle s'attendit à ce qu'il la repousse, mais à la place il l'attira vers lui en enroulant son bras autour de son cou.



Cette fois, c'était lui qui l'embrassait. Elle ne rêvait pas. C'était bien lui qui la collait contre lui. Bien lui qui lui pressait la tête contre la sienne pour l'embrasser plus fort et lui mettre sa langue dans la bouche.



Nadia avait mal. C'était tellement intense qu'elle en souffrait. Et alors qu'elle commençait à relâcher la pression, des larmes au coin des yeux, il la repoussa violemment.



- « MAIS A QUOI TU PENSAIS ???!!!! Hurla-t-il. »


Nadia ne comprit pas.

- « Qu...
- « QU'EST-CE-QUI T'AS PRIS DE LE PROVOQUER ENCORE ???!!!
- « Je...
- « T'ES UNE VRAIE CONNE ! JE SERAI PAS TOUJOURS LA !! »


- « Ce mec, est dangereux, ok ?! Je te l'ai déjà dit !! T'es sourde ou quoi ? »
- « Mais vous avez quoi avec lui ?!! Pourquoi il vous fout autant les j'tons hein ?! Et s'il me met une claque ?! Qu'est-ce-que ça peut faire ? Qu'est -ce-que ça peut TE faire ?!
- « Oruscant ne met pas de claques !! Il VIOLE !!! »

Nadia se figea.

- « Qu... Quoi ?"


- « Oruscant est un malade mental !! Sa famille est pleine aux as et il se croit tout permis ! Et il est bien protégé ! Tu peux me croire ! »

Elle se remémora les propos de Sen avant que Django ne l'emmène :

- « Ma copine... Souffla-t-elle. Qu'est-il arrivé à Yang, Django ?
- « Je crois que tu le sais. »

Elle plaqua ses deux mains contre sa bouche.

- « Mais... Mais...
- « Y'avait pas mal de bruit qui courraient sur lui quand il est arrivé, notamment sur ses rapports un peu violents avec les filles. Mais c'était des racontards. Et puis un soir, il avait trop bu, et je l'ai vu sortir des toilettes des filles, juste avant... Yang... Je... J'ai tenté de savoir ce qu'il s'était passé, mais elle était mutique. Je pense qu'il l'a menacée et elle n'a jamais rien dit.
- « Mais c'est horrible !
- « Et encore, tu l'as pas entendu après... il racontait comment ça s'était passé et depuis il l'appelle... Enfin... t'as entendu quoi... J'ai essayé d'en parler, mais sans témoignage...
- « Alors tout le monde sait et personne ne fait rien ??!!! »

L'adolescent se contenta de hocher la tête, une expression de dégoût sur le visage.



- « Mais c'est pas juste !!! hurla-t-elle. 
- « A parce-que tu trouves qu'il y a quelque chose de juste dans la vie, toi ? TOI ?! Après tout ce qu'il t'est arrivé ? Tu reverras jamais ni tes parents, ni ton frère ! Comment tu peux encore penser que la vie est juste ?!
- "T'en sais rien !
- "Mais qu'est-ce-que t'attends alors ?! Vas les retrouver ! T'es super optimiste comme fille en fait ! Tu vois, moi, pour moins que ça, j'suis au fond du trou ! Ca fait 3 ans que je bosse comme un dingue pour passer le concours de médecine. Mais je vois bien que j'y arrive pas ! Avec mon père qui me colle aux basques pour que j'aille aux entraînements, que je vienne à ceux de Juliette, que je participe à des matchs amicaux... Mais j'en ai rien à foutre ! Moi je veux être médecin ! Depuis tout gosse ! Mais le jour où je lui en ai parlé, il m'a dit : "Mon fils, les études, ce n'est pas pour nous. Tu es doué pour quelque chose, c'est déjà bien. Exploitons ce potentiel."

Il fit une pause, comme au bord des larmes. Il reprit, avec un léger tressautement dans la voix.

- " 15 jours après j'étais inscrit en ES à Oaz'. Et je suis déjà promis à l'équipe 1 de Windenburg."

Soudainement comme éteint, elle pensait qu'il avait fini. Mais elle avait tort et c'est plein de rage et d'amertume qu'il ajouta :

- " Et il a fallu qu'on traîne ensemble et que tu tombes amoureuse de moi. Le fait que je sois avec Juliette aurait du suffire à te dissuader de le faire !
- " Je... je ne savais pas...
- " Mais tout le monde le sait ! Si t'étais pas aussi associable, on en serait pas là !!!
- « ET POURQUOI TU M'EN AS PAS PARLE ?! Hein ?! Tu ne l'as jamais mentionnée !!
- « Et à quel moment ? Hein ? Entre deux exercices ? Je savais pas ce que tu ressentais ! Quand je m'en suis rendu compte, c'était trop tard ! J'allais pas la larguer pour toi !! »


Quelque chose se brisa dans le regard de Nadia et il fit tout de suite machine arrière.



- « Non... Nononononon, c'est pas comme ça que je voulais le dire... »

Mais c'était trop tard, elle s'enfuyait déjà.

- « C'est pas ce que je voulais dire ! »


- « Calcuta attends moi ! J'ai pas fini !"



- "Mais attends !"



- « Attendre quoi ?! Que tu m'humilies encore ?!! J'ai compris, Mi-Ko ! J'ai compris ! Je ne suis qu'une gourdasse qui a eu l'audace de poser les yeux sur toi ! Mais qui suis-je, hein ? HEIN ? Je suis qui pour prétendre rivaliser avec Sainte Juliette ?!
- « Je me suis mal exprimé ! Je voulais dire...
- « JE M'EN FOUS !
- « Laisse-moi finir !!! »
- « NAAAANNNNN ! »


Les yeux ruisselants de larmes, elle le repoussa violemment alors qu'il tentait de s'approcher.

- « Tu as été clair ! Je suis une pauvre conne pleine d'illusions ! C'est bon, j'ai compris maintenant... Je suis et resterai SEULE ! »

Elle le repoussa une dernière fois avant de partir en courant.


- « T'es bornée Calcuta ! Ce que je veux dire c'est que... »

Elle revint sur ses pas encore plus vite et lui flanqua ce qui dut être la plus grosse gifle de sa vie.

- « Mon nom, c'est MAGNOLIA !! »

Et elle repartit aussi sec le plus rapidement possible de lui.


- « Oh et puis merde. C'est mieux comme ça, de toute façon. »










Commentaires

Eulaline a dit…
A chaud, je me contente de dire : mais quel déglonflé, ce Django, qui se laisse dominer par son père, qui joue les victimes d'un amour impossible, il blesse... mais ce n'est pas sa faute, hein. C'est mieux comme ça.
Comme je regrette pour lui et pour Nadia :(
Pauvre louloute, elle ne mérite pas tout ce qui lui arrive et les tartes qu'elle se prend dans la tronche.

Olalala et la pauvre Yang...:( Pas un instant, je n'avais deviné la douleur qui est la sienne. Et finalement, oui, évidemment. Il n'y a que les écorchés vifs qui puissent s'approcher au plus proche de notre Nadia.
C'est un chapitre magnifique, encore si bien écrit, si bien illustré, si bouleversant. Tes personnages sont des perles, tous, sans exception. J'adore, quel talent, tu as! <3
GGO a dit…
Tu as raison concernant Django, et son discours à la fin est d'une mauvaise foi... ^^" Mais il a été façonné comme ça... Certes, il faudrait qu'il se démarque, qu'il se forge lui-même, mais tout le monde n'y arrive pas. :-(

Non, Nadia ne mérite pas ça, mais elle est entrée il y a très longtemps dans un engrenage qui l'a conduite là où elle est. Ils sont pareils, finalement, dans un style différent. Si elle veut s'en sortir, il faut qu'elle change.

Quant à Yang, ouais, là c'est sûr, c'est rude.
Et tu sais, tu as mis des mots sur mon ressenti. Je n'avais pas, dans ma tête formulé ça comme ça, mais pourtant, c'est ça ! Nadia émet des ondes qui repoussent généralement, mais certaines personnes arrivent à passer au travers. Et c'est vrai que ces personnes sont des gens captent vraiment ce qu'elle ressent : un sentiment puissant d'injustice et de fatalité...

Merci merci merci, ça me touche énormément <3.
Mauy a dit…
Tortionnaire que tu es GGO !! Quand il l'a embrassé, j'ai fait "YEEESSSSS"... Et puis c'est parti en vrille ! Snif.. moi j'aime bien Miko ! Et j'ai compris ce qu'il voulait dire (certes, à ma façon). J'espère que ce n'est pas définitivement fini entre eux...

Pour Yang, je l'avais pas vu venir... Mais c'est pas mal amené... Malgré la relation un peu bizarre qu'elle a avec Nadia, c'est compréhensible vu ce qu'elles ont vécu...

Bref, t'es trop douée ! J'adore !
Marina a dit…
Non mais non mais non mais non !
C'est pas mieux comme ça non, lui aussi il est amoureux d'abord !!
C'est quand qu'il revient Daniel, pour foutre la raclée de sa vie au blondinet psychopathe ? (J'ai une forêt de cactus pour aider, je vous rappelle)

Vraiment, Ggo, t'es mon héroïne, à chaque chapitre je retiens ma respiration du premier mot au dernier O_O
Sur ce j'y vais, j'ai besoin de sniffer de l'oxygène.
Bisous ♥
GGO a dit…
Uuiiiii je suis pas gentille :-(

Ah bah si t'as compris Miko, ça en fait au moins une ! Même lui ne sait pas où il crèche donc c'est que tout n'est pas perdu ;-)

Pour Yang je peux trop rien dire encore ;-)

Oh bah merci, c'est gentil ! :-D
GGO a dit…
Peut-être, mais il fait rien comme il faut non plus !

Daniel ? Qui c'est ça ? :-p

Roooooooo c'est trop gentil. Merci beaucoup.

Et moi j'ai hâte de te lire à nouveau. Peut-être avec une nouvelle extension ?

Bisooouuuusss !
Marina a dit…
Peut être oui, pour le moment je n'ai toujours pas envie de jouer, mais ça reviendra bien un jour ;)
Bisous !

PS : J'ai une Léonor dans mon arbre née en 1675, t'y crois ? J'ai tout de suite pensé à toi :p
Missing a dit…
De l'action, des cris, de la bagarre, des baffes... Tout ce qu'on attendait après révélations précédents. Même si c'est curieux que ces trois là ne se soient jamais trouvés dans la même pièce auparavant.
Et LA révélation de l'épisode. Je me demande ce que Nadia va faire de cette information, maintenant qu'elle sait. Et d'une manière totalement stéréotypée, tout le monde est au courant, mais personne n'en parle. C'est plutôt sombre comme histoire, quand on pense au modèle, on voit à quel point tu as évolué. On est loin du temps où on attendait le réparateur pour les toilettes toute une aprè midi !
GGO a dit…
LOL ! On dirait oui ^^

Quant au silence collectif, j'en reparlerait plus tard :-)

Merci Bisou !!
Pythonroux a dit…
Ca, pour le coup, c'est clair qu'elle est nunuche avec l'état d'esprit d'Oruscant...
Tout le monde a compris depuis la première rencontre qu'il est dangereux et qu'il croit que les femmes sont des objets dont il peut faire ce qu'il veut....

mauvais choix de mots mon cher Fabien... si tu veux la revoir, il va falloir sortir les rames :p
GGO a dit…
"Va falloir sortir les rames"... Ouais... Encore faudrait-il qu'il le veuille ^^"